Un exploit
mai 30th, 2009 Posted in Tranche de vie | 2 Comments »Posted by mobile phone:
J’ai et mon train. Le train que je devais prendre, pas le suivant. C’était limite, comme d’habitude, mais je j’ai eu. Comme quoi, tout arrive !
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J’ai et mon train. Le train que je devais prendre, pas le suivant. C’était limite, comme d’habitude, mais je j’ai eu. Comme quoi, tout arrive !
… je danserai comme ça (y’a du boulot)(plein !!!) :
Comment exprimer avec des mots ce que je n’arrive pas à dire, ce qui n’est pas fait pour être exprimé de cette manière, mais pour être vécu, simplement ? C’est si fort, si doux en même temps. Non, je ne suis pas amoureux d’une fille. Ni d’un homme d’ailleurs. En fait, je ne suis pas amoureux, je ne crois pas, même si je n’en sais pas grand chose, de l’Amour. Ca aussi, ça se vit. Quand on en parle on a commencé à l’intellectualiser, à le penser, mais ce n’est déjà plus lui.
J’ai attrapé une pulsation. Un tempo. Un rythme. Qui me colle depuis quelques jours. J’ai pris des vacances, en pensant lui échapper. Raté. Combien de temps vais-je l’avoir ? Je ne sais pas, longtemps j’espère ! Un jour peut-être les mots viendront, ce jour là je vous les donnerai. D’ici là, place aux notes !
Infos légales : la photo vient de Flickr, elle est sous licence Creative Commons.
Petit extrait de ma lecture en cours. La référence est plus, quant à l’auteur, j’en ai déjà parlé !
In « Danse, danse, danse », H. Murakami, traduction de Corinne Atlan
Je précise juste que ce n’est pas du tout un livre sur la danse (pour celles et ceux qui en douteraient), mais ce passage me parle particulièrement en ce moment, même (et surtout) pris au premier degré
Ben oui, c’est vrai, quoi, je vous cause quand ça va pas fort, j’en fait un billet et tout, je partyage avec vous les mauvais moments, mais je me garde les bons rien que pour moi, on a connu plus sympa ! En parlant de moment sympa je ne parle pas d’aujourd’hui, bien que la fin de la journée ait été meilleure que son début (jusqu’à 19h quand même, c’est un gros début !), non. Je voulais évoquer mes petites promenades du week-end dernier. Pas trop à vélo, enfin, si, un peu quand même, mais pas complètement.
Alors voilà, j’étais à la recherche de produits un peu particuliers que je ne savais pas trop où trouver. Tuyauté par une âme charitable, je me suis rendu dans une petite rue aux limites du Marais, une des rares rues qui abritent encore des maisons médiévales dans la belle ville où je loge en ce moment. Nous étions le 1er mai, j’avais cependant un petit espoir de trouver ces magasins ouverts. Las, ils ne l’étaient pas. Frustré de mes emplettes, j’ai décidé de me promener un peu dans le quartier voisin. Quelle idée !
Bah oui, quelle idée ! Ce quartier porte très mal son nom : je n’y ai pas vu trace d’un canard, ni d’un ajonc ou d’un point d’eau. Que nenni, ce nom est plus dû à d’obscures raisons historiques qu’à un état actuel. Toujours est-il que cette promenade solitaire fut un véritable bonheur : le soleil, les autres promeneurs, les boutiques et vitrines… Ce qui est triste avec le bonheur, c’est qu’en fait, il suffit de dire le mot pour que tout soit dit, il n’y a rien à raconter. En fait, c’est nul, ce truc ! Bref, si pendant longtemps je n’ai rien écrit ici, c’est (un peu) parce-que tout allait bien. Donc j’espère que ma déprimette passagère ne vous aura pas trop alarmé !
Fin en queue de poisson : il est temps de me préparer au coucher. Bonne nuit !
Ce matin ça allait bien. La pêche, touça, je venais d’écouter du Elvis, j’avais la tête qui dansait. Pis j’ai oublié mes badges du boulot. Bah, tant pis, c’est pas bien grave, on se débrouille sans. Et pis après j’ai lu un email. Et il m’a tout pourri mon groove1. Ce soir, ça ira mieux !
Un pigeon qui vient de se prendre un râteau, ça a toujours l’air con…
Pour ceux qui en douteraient je parle bien des oiseaux, là
Ce soir j’ai encore appris une chose, qui est amenée à prendre de l’importance à l’avenir : si les spécialistes ne sont pas vraiment d’accord pour déterminer son point culminant, la montagne Saint Geneviève est bien plus haute que l’île Saint Louis. En pédalant dans la rue du Cardinal Lemoine, c’est très vite flagrant !
Voir ici (c’est bête, ça marche pas en direct, donc vous devrez cliquer sur le lien, trop dur !).
Et pis aussi, rue Moufetard il y a plein de monde les veilles de jours fériés (avec tous les bars et restos à étudiants qui y traînent, c’est assez prévisible, en même temps…). Quand on suit une voiture c’est super pénible, elle ne peut pas avancer, mais comme c’est une voiture elle ne fait rien pour vous laisser passer (en même temps, si elle s’arrêtait à chaque couillon de cycliste qui passe elle serait pas sortie de cette galère !)
Ça ne changera pas votre vie, mais moi je trouve ça intéressant, c’est tout. Oh, et pis zut !
Ce soir, après le boulot (enfin, non, un peu pendant aussi mais ça n’est pas de sa faute), Elle est passée chez moi. C’est tout ce que j’en dirai pour l’instant, j’en reparlerai peut-être plus tard. Après qu’elle est partie mon monde s’est divisé en deux possibilités :
Vous l’aurez compris, entre les deux j’ai choisi la troisième – ce choix est sans doute à mettre sur le compte de mon esprit de contradiction, qui est un organe chez moi particulièrement développé. Je passerai – aussi – sur le restaurant, un qui se dit italien à côté de chez moi dont je voulais tester la pizza et dont j’ai plutôt testé la sauce piquante spécialement traitresse. C’est malgré tout chez cet italien que j’ai eu l’idée d’un aller-retour, qui allait devenir l’objet de ce billet – ou qui aurait pu le devenir si j’avais pris un peu moins de temps pour préparer mon sujet. Tant pis ! Read the rest of this entry »
Imaginez la scène : je rentre chez moi, tranquillement, après une longue journée de travail acharné à faire gagner toujours plus d’argent à mon patron. Comme toujours, cette phase importante de la journée commence par ouvrir la porte d’entrée de l’immeuble. Puis vient la deuxième étape, celle très délicate consistant à voir si j’ai des amis relever mon courrier. Et c’est là, ce soir là, qu’advint le drame : alors que je farfouillais tranquillement dans le casier qui me sert de réceptacle à publicité factures courrier je tombais sur un papier d’un format inhabituel.
Naïf, je me dis : «on dirait un de ces papiers distribués par les voyants, c’est marrant qu’ils viennent jusqu’ici pour les mettre». J’aime assez ces papiers, ce n’est pas le but recherché mais je les trouve rigolos, parfois j’en fais même un billet (attention, c’est archéologique !). Et puis une fois que j’ai bien ri avec eux, je les donne à un collègue qui les collectionne (“voyantophile” ? “papologue” ? “médiomane” ? “magopinaciophile” ? Comment appeler ce type de collectionneur ?). Donc ce soir là, bien innocemment, je sortis ces micro-prospecti de mon petit alcôve. Read the rest of this entry »